

Après avoir terminé le montage, l'étalonnage, le mixage, nous avons combattus les problèmes administratifs et enfin, nous pouvons organiser des projections.
Mais seulement en version originale c'est à dire en français et en espagnol.
Il ne nous reste donc plus qu'à faire les sous-titres français, espagnol et anglais.
Si vous voulez nous aider, Il suffit de traduire quelques minutes:
- du français à l'espagnol
- de l'espagnol au français
- du français à l'anglais
- de l'espagnol à l'anglais
Voilà comment nous voulions procéder:
On a mis le documentaire sur internet avec un mot de passe (on peut aussi le télécharger) et on demande aux traducteurs et traductrices d'écrire la traduction sur un simple document texte et ensuite nous calerons les sous titres.
Chacun(e) peut traduire en fonction de son temps de libre et de sa motivation.
Le mieux étant de traduire au minimum une séquence (autour de 10min).
Tout le monde est bénévole alors chacun doit pouvoir gérer son degré de participation !
Merci beaucoup !
Belle journée à vous.
Cynthia Viteri, du parti Social Chrétien, a déjà appelé à voter pour le banquier Guillermo Lasso. Ce dernier a lancé un appel pour une union historique. Il est clair qu'en ajoutant les votes de Viteri (16,2%), de Moncayo (6,5%) et de Bucaram (4,4%) à ceux de Lasso(28,5%), le second tour serait déjà plié. Cette addition donnerait environ 54% des votes pour Lasso, alors qu'en ajoutant l’extrême gauche avec Alianza Pais, le résultat serait autour de 40%.
Peut-on comparer l'aide de l'État français pour le logement (A.P.L.) aux aides pour le gaz des états Boliviens, Équatoriens et Péruviens ?
La part moyenne du budget total d'un ménage consacré au logement en France (sans compter l'énergie), est passé de 12%, au début des années 1980, à 18,5% aujourd'hui. C'est une hausse de 50%.
En comptant l’énergie, cette part représente aujourd’hui 30%
Pourrait-on imaginer que la nature se rebelle et se mette à poursuivre en justice tous ceux qui la détruisent ? Un scénario de film fantastique devenu réalité en Équateur avec l’affaire Rio Vilcabamba contre l’État de Loja en 2011.
Une rivière contre un état ! Un cas d’école qui a permis à ce pays d’appliquer un « principe de Juridiction universelle »: il permet à chacun de saisir la cour de justice au nom de la nature. Un nouvel ordre juridique qui, en Bolivie, permet aussi de représenter tous les êtres passés, présents et… à venir.
L'Équateur, ce n'est pas que les Îles Galápagos, la pollution pétrolière en Amazonie, la production de cacao, de café, de rose et de banane. C'est avant tout un pays en reconstruction totale depuis 10 ans, qui fait preuve d'une originalité politique et économique malheureusement trop méconnue.
Venez découvrir ce beau pays le temps d'une soirée:
Le Samedi 11 Juin à 20h, à la Boulangerie du Prado - 69 rue Sébastien Gryphe, Lyon 7ème.
Entrée: 2 euros seulement !
Le 16 Avril à 18h58 heure locale, l'Équateur a été frappé par un séisme de magnitude 7,8 sur l’échelle de Richter, qui en compte 9.
C'est le pire tremblement de terre qu'ait connu ce pays depuis prés de 40 ans.
Le bilan provisoire est de 525 morts et 2500 blessés.
Le séisme a détruit au moins 1500 immeubles et provoqué des coulées de boue.
Après plusieurs mois de pression exercée par les syndicats et d’autres mouvements populaires, avec un point d’orgue lors de la grève générale sur ce sujet, la première de ce genre au monde, le président uruguayen Tabare Vazquez s’est incliné face à l’opinion publique et a abandonné l’accord commercial voulu par les États-Unis.
Et si après tant de mots,
ne survivra pas le mot!
Si, après les ailes des oiseaux,
Ne survit pas l'oiseau arrêté!
Il vaudrait mieux, en effet,
vouloir manger de tout et laisser faire!
César Vallejo est un poète péruvien d’avant-garde, une sorte de Vladimir Maïakovski andin, grand innovateur du langage littéraire, et pourfendeur des lâchetés humaines.
En 3 affaires le CIRDI ordonne à l’Équateur de verser plus de 3 milliards de dollars à des entreprises pétrolières et gazières nord-américaines.
Après un premier versement de 100 millions en décembre, R.Correa a souligné que« bien que son gouvernement n’avait pas signé l’accord, en tant qu’État il fallait accepter la situation et c’est pour cette raison qu’il fallait respecter la décision d’arbitrage international ».

Nous trouvons que c'est une entame pertinante:
Vous montrer qu'il y a peu d'espace en France accordé aux voix des petits pays, qu'il y a des oreilles désireuses de les écouter, même à science po et que la cop21 reste un objet flou, puisque même les étudiants de science po ont besoin d'être éclairé.
Petits pays, ça ne veut pas dire petites politiques, petites cultures, petites idées ou petites initiatives. L'exotisme, lorsque cela touche à des choses intressantes mais qui mettent en défaut nos pays, n'apparaît que très peu dans nos médias.

Actuellement, l'Amérique Latine vit des temps électoraux compliqués et les processus de changement qu’avait entamé le continent viennent de prendre un tournant important. En Argentine, après 12 ans avec Kichner au pouvoir, l’opposant de centre droite Mauricio Macri vient de gagner les élections présidentielles. Au Venezuela, c’est la victoire de l’opposition aux élections parlementaires. Le MUD a obtenue 107 places alors que le parti au pouvoir n’a obtenu que 55 places.

"13 milliards de dollars, c’est le montant des dommages causés par le phénomène El Niño au Pérou et en Equateur pour l’épisode 1982-1983."
Et pour 2016 ?
Le phénomène climatique tant redouté dans l’hémisphère Sud est de plus en plus proche. En Europe nous ne subissons pas El Niño, alors nous vous avons préparé une explication.

Durant le 70ème sommet de l'ONU qui se déroulait à New-York, le président Rafael Correa a abordé divers thèmes. Une fois de plus, le président s'est focalisé sur un modèle de développement, apparemment viable pour combattre la pauvreté, appelé le Sumak Kawsay (Bien Vivre). C'est une alternative pour lutter contre les inégalités et contre le changement climatique.

L’explosion de la consommation dans le monde actuel fait plus de bruit que toutes les guerres et crée plus de tapage que tous les carnavals. Comme dit un vieux proverbe turc, « qui boit en compte, se soûle deux fois plus ». Les festivités assomment et assombrissent la vision ; cette grande ivresse universelle semble ne pas avoir de limites dans le temps et dans l’espace.

Il est vrai que la principale critique faite à ce gouvernement et précisément à Rafael Correa, c'est son autoritarisme. Le manque d'implication du peuple dans les décisions et le rejet de toute forme d'opposition, vont à l'encontre d'une quelconque « participation citoyenne » et donc de la « révolution citoyenne ».
En revanche, comment ne pas réagir quand on lit « la répression de la manifestation pacifique des représentants indiens ».

Le constat de départ est que nous vivons une crise systémique, c'est à dire une crise majeure et globale. Beaucoup d’indicateurs alarmants mettent en lumière la nécessité de changer de modèle de développement, de vie. Les gouvernements restent sourds à ses alertes et les conférences sur l’environnement données chaque année ne débouche sur rien de concret.
L'idée est de ne plus séparer l’économie et l’humain et avoir des projets de changements pour le long terme, pour les générations futures.

Depuis deux mois, plusieurs organisations populaires et indiennes comme FUT (Front Unitaire des Travailleurs), CONAIE (Confédération des Nationalités Indigènes de l’Équateur), PACHAKUTIK (Parti Politique Indien) et bien d'autres, ont annoncés l’organisation d'une grève nationale.
Elle a débuté de la province de Zamora et arrive aujourd'hui à la capitale, à Quito.

En Équateur les manifestations s'organisent en faveur ou en contre des lois sur la taxation de l'héritage et des plus-values immobilières. Il s'agit d'un moment important pour le pays.
Comme toujours les informations ne remontent pas dans nos grands médias français, alors voici quelques liens pour vous informer sur la situation :
- en Français: http://info.arte.tv/fr/equateur-impot-taxes-heritage-riches
- en Espagnol: https://www.youtube.com/watch?v=GeaIS8j5ldA&feature=youtu.be (vidéo gouvernementale)

Vincent Bolloré ne pouvait pas juste supprimer les guignols de l'info. Alors il s'y prend autrement.
Lionel Dutemple, Julien Hervé, Philippe Mechelen et Benjamin Morgaine, les auteurs principaux de l'émission, sont gentillement evincés.
Et puis, il va décider avec Canal « sous quel format et à quel moment, les guignols devront être distribués ». Verdict : En crypté à 20h50, rediffusé sur Dailymotion par la suite, et le dimanche en clair.